LES PEINTRES (1534-1650).                                      121
231. —- Pierre Cahouly, peintre. -. 3 avril 1642, v
bergue(1), peintre à Paris, rue Neuve-Saint-
Honoré, et de. Poncette Auberye, sa femme. — (Arch, nat., Y 182, fol. ia3.)
Donation mutuelle de Pierre ■ Cabôuly, peintre à Saint-Germain-en-Laye, et de Barbe Serci, sa femme, logés à Paris chez la dame Menu, rue de la Bûcherie. — (Arch, nat., Y 182, fol. 7 3 v°.)
234. —- Quignon,peintre. - 31 mai 1642.
- Le sieur Quignon, peintre à Paris, aux Marais-du-Temple, est inscrit dans le testa­ment du sieur Faverol, curé de Fontenay-le-Vicomte, son cousin, pour un legs de 100 livres et de quatre de ses plus belles chemises. — (Arch.nat., Y 182, fol. 272.)
232.—Philippe Forderain ,peintre. — i o mai i642.
Cession par Philippe Forderain, peintre, âgé de soixante ans passés, demeurant rue Mouffetard, én la maison de son gendre, et Nicole Chevillon, sa femme, âgée de soixante-dix ans, à Gilles Morel, maître chaudron nier, et â Antoinette Forderain, sa femme, leurs gendre et fille, de la direction et admini­stration de leurs biens et affaires, notam­ment du recouvrement de 12 o livres ci con­tenues en deux ordonnances du receveur de la ville de Meaux, pour ouvrages de peinture faits par ledit Forderain pour la procession généralle de la Feste-Dieu qui se fait aud. Meaux, ainsi que de tous les biens meubles à eux appartenans, qui sont ès maisons de Philippe Forderain, mc appoticaire aud! Meaux, et de Gilles Forderain, me peintre aud. Meaux, leurs enfants, à charge pour led. Morel et sa femme dé payer leurs dettes et pourvoir à leur entretien.— (Arch, nat., Y 182, fol. 269 v°.)
233.—Corneille Van Caudenhergbe,peintre. - 29 mai 1642.-
Donation mutuelle de Corneille, dit Froi-demontagne, autrement dit Vancoudan-
235.  -— Claude Harert, maître peintre. — 1 4 juillet 1642.
Donation par Jeanne Née, veuve de Jean Sebille, gagne déniera Paris, demeurant rue du Four, à Claude Habert(2), maitre peintre à Paris, rue du Four, faubourg Saint-Ger­main, et à Jeanne Noli, sa femme, de tous ses biens meubles et immeubles, à la réserve de l'usufruit, en considération des nourriture et logement à elle fournis pendant douze ans par ledit Habert et sa femme. — (Arch. nat., Y 182, fol. 206.)
236.  — Robert Boullanger, maitre peintre. —r i3 août 1642.
Donation par Charlotte Lescuyer, veuve­de Robert Boullanger, maître peintre, bourgeoisde Paris, demeurante rue Saint­Martin, à l'enseigne du Gros Chapelet, à Jean Serre, facteur à la poste de Paris, et à Anne Poullet, sa femme, d'une somme de 8oo livres en argent comptant, à prélever après le décès de ladite Charlotte Lescuyer sur ses biens, en reconnaissance de leurs
(i> Ce nom est évidemment mal orthographié. En tout cas, l'origine flamande de l'artiste ne saurait étre douteuse. '2) jal fait mention (voir sa table) d'un Nicolas Habert, assez médiocre graveur. Nicolas était-il parent de Claude? On l'ignore..                                                                                                                                                        •
ARTISTES PARISIENS.
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